S. Knafo a récemment frappé fort lors d’une confrontation avec le député LFI, M. Taché, lors d’un débat enflammé. En moins de trois minutes, Knafo a exposé les failles de l’argumentation de Taché sur l’aide humanitaire à Gaza, remettant en question la transparence et l’efficacité de l’utilisation des fonds.
Knafo a commencé par interroger Taché sur la destination réelle des millions d’euros envoyés à Gaza. “Avez-vous des preuves que cet argent est utilisé pour le bien-être de la population?” a-t-il lancé, soulignant le manque de clarté sur l’utilisation des fonds publics.
Il a ensuite dénoncé une vision “coloniale” de l’aide, suggérant que donner de l’argent ne suffit pas à garantir le développement. “Vous pensez vraiment que les pays se développeront uniquement grâce à nos dons? C’est une illusion!” s’est-il exclamé, défiant l’approche de LFI.
Knafo a également pointé du doigt le rôle du Hamas, affirmant que l’organisation détournait l’aide humanitaire pour ses propres fins. “Depuis 30 ans, 40 milliards de dollars ont été utilisés pour construire des tunnels, pas des abris pour les civils!” a-t-il déclaré, suscitant des réactions vives dans le public.
La tension est montée alors que Knafo a accusé le Hamas de priver les enfants de Gaza de l’eau et de l’électricité, tout en utilisant l’argent destiné à l’aide pour des projets militaires. “C’est le Hamas qui dit à ces enfants que leur accès à l’eau peut être coupé!” a-t-il ajouté, dénonçant l’inefficacité de l’aide actuelle.
Ce débat a mis en lumière des divergences profondes sur la manière d’aborder l’aide internationale. Knafo a plaidé pour une priorité donnée à son propre peuple, face à des millions d’euros envoyés à l’étranger sans garantie d’utilisation appropriée. “Nous devons d’abord aider ceux qui souffrent chez nous!” a-t-il conclu, laissant le public en émoi.
Alors que les discussions sur l’aide à Gaza continuent, cette confrontation a révélé des tensions sur la responsabilité et l’efficacité de l’aide humanitaire. Les questions soulevées par Knafo résonnent fortement et pourraient influencer le débat public sur l’aide internationale dans les mois à venir.
