Johnny Hallyday, le roi du rock français, cachait un côté sombre bien au-delà de son image publique. Des révélations explosives viennent de surgir sur les cinq célébrités qu’il ne pouvait pas supporter. Ces rancunes tenaces, dévoilées par ses proches après sa mort, révèlent un homme complexe, capable d’une haine profonde envers certains de ses confrères.
La première cible de Johnny était Claude François, son ennemi juré. Leur rivalité, qui a éclaté dans les années 70, était si intense qu’elle a failli dégénérer en violence. Johnny ne supportait pas le comportement tyrannique de Claude envers ses musiciens, le qualifiant de “dictateur en paillettes”. Leur affrontement dans une boîte de nuit parisienne a marqué le début d’une guerre froide qui n’a jamais pris fin.
Ensuite, Dick Rivers, un autre pionnier du rock français, était un rival que Johnny ne pouvait pas éliminer. Leur concurrence, alimentée par une jalousie professionnelle, a empoisonné leurs carrières pendant des décennies. Johnny méprisait Rivers, le considérant comme un faux dur. Une humiliation publique lors d’un gala de bienfaisance a scellé leur animosité.
Antoine, représentant de la nouvelle génération des années 60, était un autre adversaire de Johnny. Leur conflit a dégénéré en guerre des tranchées, avec des attaques mutuelles qui ont marqué la scène musicale. Johnny voyait en Antoine l’incarnation de tout ce qu’il détestait, et leurs échanges étaient souvent explosifs.
La rupture avec Michel Sardou, autrefois ami, demeure l’une des plus douloureuses. Une plaisanterie malheureuse lors d’un gala a mené à une brouille qui les a séparés jusqu’à la mort de Johnny. Sardou, respecté par Johnny, a été la victime d’une humiliation publique que l’artiste n’a jamais pu digérer.

Enfin, la relation avec Jean-Jacques Goldman, autre géant de la chanson française, s’est également détériorée. Malgré une collaboration fructueuse, des tensions ont surgi, culminant en une dispute lors d’une séance d’enregistrement. Cette rupture a laissé un vide dans la chanson française, chacun campant sur ses positions.
Ces révélations, tirées des témoignages de ses proches, dévoilent un Johnny Hallyday bien plus complexe que l’image du bon vivant qu’il projetait. Ses conflits n’étaient pas seulement personnels, mais aussi une question de principe. Johnny ne pardonnait pas l’arrogance, le mépris des équipes, ou l’hypocrisie.
Alors que ces noms continuent de résonner dans le monde du showbiz, une question demeure : combien d’autres secrets Johnny a-t-il emportés dans sa tombe ? Les rivalités et rancunes qui ont marqué sa carrière laissent entrevoir un homme tourmenté, figé dans une éternité de conflits irréconciliables. Johnny Hallyday, un roi qui ne pardonnait jamais l’indignité artistique.
