Le 24 novembre 2025, la France, l’Algérie et toute la francophonie sont secouées par la mort soudaine de Biyouna, icône du cinéma maghrébin et français, à l’âge de 73 ans. L’annonce brutale de son décès a provoqué une onde de choc, alimentée par le mystère entourant les causes de sa disparition.
Biyouna, connue pour sa personnalité flamboyante et son humour mordant, avait toujours refusé de montrer sa vulnérabilité. Selon des proches, elle se plaignait de douleurs thoraciques et de fatigue, mais insistait pour ne pas consulter de médecin. Son état de santé s’était détérioré, mais elle avait choisi de cacher ses souffrances.
Le matin de sa mort, elle a envoyé des messages à une amie, exprimant un malaise inexplicable. À 8h15, elle s’est effondrée chez elle. Les secours, arrivés rapidement, n’ont pas pu la réanimer. Son décès a été déclaré à 9h03, mais la nouvelle n’a pas été rendue publique immédiatement, alimentant les rumeurs.

Les médias français et algériens se sont enflammés, chacun cherchant à comprendre les circonstances de cette tragédie. Les spéculations vont bon train : crise cardiaque, AVC, ou complications d’une maladie cachée. Les médecins parlent d’arrêt cardiaque d’origine multifactorielle, mais les détails restent flous.

Une enquête préliminaire révèle que Biyouna souffrait d’une maladie auto-immune sévère, la vascularite nécrosante, qu’elle avait choisie de ne pas traiter. Les conséquences de cette maladie avaient gravement affaibli son cœur, rendant son état critique. L’infection pulmonaire détectée lors de l’autopsie a été le facteur déclencheur de son décès.

La mort de Biyouna soulève des questions sur la santé des artistes vieillissants, souvent isolés et soumis à une pression constante. Sa disparition devient un symbole de la vulnérabilité cachée derrière le glamour. Alors que les hommages affluent, la France pleure une artiste qui a vécu intensément mais est partie dans le silence.
Des milliers de personnes se rassemblent à Paris et à Alger pour rendre hommage à cette étoile disparue. Biyouna, qui a toujours refusé d’être définie par sa maladie, laisse derrière elle un héritage incommensurable, mais aussi un questionnement sur la manière dont la société perçoit la vulnérabilité. Sa légende perdurera, mais sa mort tragique rappelle la fragilité de la vie et l’importance de l’écoute et du soutien.
